À ceux qui appellent Ira-Mauritanie à la violence.
Pour répondre à ceux qui appellent IRA-Mauritanie à la violence nous allons d'abord leur définir qu'est ce que la violence ?
La violence est l’utilisation de force ou de pouvoir, physique ou psychique, pour contraindre, dominer, tuer, détruire ou endommager. Elle implique des coups, des blessures, de la souffrance, ou encore la destruction de biens humains ou d'éléments naturels. Et Selon l'OMS la violence est l'utilisation intentionnelle de la force physique, de menaces à l’encontre des autres ou de soi-même, contre un groupe ou une communauté, qui entraîne ou risque fortement d'entraîner un traumatisme, des dommages psychologiques, des problèmes de développement ou un décès.
Après avoir définir la " violence " selon le sens littéraire et la compréhension de l'organisation mondiale de la santé. Nous nous posons les questions suivantes.
Peut on résoudre un problème barbare par son équivalent ?
Peut on éteindre le feu avec l'huile ?
N'est ce pas l'eau qui traverse les roches , les collines, les montagne... sans bruit ?
Pour répondre à cette série de question nous commençons d'abord par la réponse de la première question c'est -à -dire la résolution des crimes par les crimes en effet aucun problème humanitaire ne peut être résolu brutalement car la fusion de deux brutalités produira nul doute l'ensemble de crime de lexique de toute forme marginatoire cela revient à retenir ici qu'effectivement pour résoudre un problème quel conque il faut éviter la violence .
Ensuite concernant la réponse de la deuxième question nous disons simplement que le fait d'avoir l'intention d'éteindre le feu par l'huile cela n'est autre chose que l'approvisionement de ce feu 🎆 dont on veut éradiquer car le feu et l'huile constituent tous les deux les mêmes subsistances.
Enfin en ce qui concerne la réponse de notre dernière question nous disons que l'eau conquit toujours des nouvelles terres en traversant les montagnes 🗻 , les collines, les rochers... Grâce à sa détermination et non sa brutalité.
En quise de conclusion nous retenons que la violence n'engendre que la violence car le mal ne peut point être un remède pour un autre mal. Pour notre part le combat de notre organisation restera pacifique nous pensons qu'il vaut mieux résoudre les problèmes humanitaires par la voie pacifique car la liberté de chacun se termine là où commence la liberté d'autrui.
Laabad Ould El Waghre. Abidjan le 22/12/2017.
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